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Covid-19 : fût-il un masque cachant le visage d’une Finance prête à tout pour s’enrichir ?

Le « phénomène de masse » lié au scandale global du Covid-19 ne peut être compris sans s’intéresser à cette question sous l’angle financier sur la période allant de 2019 à 2021. Evidemment, tous les éléments expliqués ci-après furent peu médiatisés, mais la réalité cachée derrière le Covid-19 est la couverture d’un vaste krach financier. Explications !

Un Covid articulé autour du totalitarisme ainsi que de la Finance, et certainement pas autour de la santé et de la science

Vue sous l’angle de la sécurité, de la santé ainsi que de la « science », les évènements liés à la pandémie de Covid-19 n’ont guère de sens. Toutefois, en modifiant légèrement son point de vue, c’est-à-dire le fait de considérer cette pandémie sous l’angle financier, politique et de la lutte des castes sociales, toute cohérence se révèle alors.

Masques (ou « muselières ») obligatoires, distanciation anti-sociale liée aux multiples confinements, discours politiques oxymoriques, et tout un ensemble de mesures liberticides et/ou attentatoires n’ont jamais eu pour vocation de protéger voire améliorer la santé publique. Ces « outils » avaient d’autres desseins et ils n’ont jamais été conçus par soucis d’un quelconque bien-être général.

Bien des éléments mis en place à la genèse du Covid-19 ont majoritairement été conçus pour amoindrir délibérément l’économie mondiale et mettre à mal les petites entreprises. En outre, dans cette idée ancienne de « diviser pour mieux régner », l’isolement à été un puissant outil pour sabrer le moral ainsi que les convictions des gens, à l’instar de leur volonté ainsi que du tissu social.

L’idée sous-jacente était, en effet, de reconstruire une société « meilleure » et totalement conforme aux visions absurdes et dystopiques des quelques nantis indéfiniment responsables de cette guerre des castes sociales. Est-il seulement nécessaire de rappeler que la société de l’Ancien Régime de France (de 1589, avec la dynastie Bourbon, jusqu’à fin 1792, abolition de la monarchie … et renforcement de l’esclavagisme avec le « Triangle d’or ») était régie selon trois ordres : le clergé, la noblesse et le tiers-état ? Parallèlement à cette période, le siècle des « Lumières » est attribué au 18ème siècle. Les faits parlent d’eux-mêmes, encore faut-il savoir les interroger !

A l’échelle globale, le résultat souhaité est le suivant : « New World Order (NWO) » (ou « Nouvel Ordre Mondial (NOM) » en français). Cela correspond à une sorte de monde rêvé par quelques milliardaires, dans lequel ils possèderont et contrôleront la planète sous tous les angles ; tel une sorte de « fief techno-féodal » avec une humanité marquée numériquement et régulée similairement à du bétail dans une ploutocratie surveillée.

Covid-19 : la réalité d’une crise manifestement camouflée

Depuis le début du siècle en cours, un effondrement économique intégral se dessine de plus en plus aisément au fur et à mesure des années écoulées. Cette supposée « crise du Covid-19 » n’a simplement été qu’un catalyseur de ce phénomène de cataclysme financier, puisque l’effondrement financier demeure aujourd’hui inévitable. A vrai dire, nous sommes déjà en plein dedans, une sorte de Titanic dont la plupart des passagers sont inexorablement condamnés. Cela n’est qu’une question de temps !

La nécessité d’une « fraude d’envergure », matérialisée par le Covid-19, est devenue plus que nécessaire lorsque les marchés financiers mondiaux ont dû faire face à un vaste problème de la dette à l’automne 2019, tel que l’évoquait le journal Capital en 2019. Ce mini-krach a surgi sur des marchés auparavant essentiellement liquides : les pensions, les monétaires et les changes.

A ce titre, les gouvernements occidentaux ont dès lors commencé à se hâter afin de sauver une énième fois ce système en décomposition et, de facto, tenter d’endiguer ce glissement de terrain à la puissance dévastatrice. Mais comment faire ? A l’identique des quinze dernières années, à savoir imprimer de l’argent « quoi qu’il en coûte » (expression de Mario Draghi, ancien gouverneur de la BCE, 26 juillet 2012) pour renflouer les investisseurs à grande échelle à coup d’accroissements gigantesque des dettes nationales. Le but maquillé était également d’installer de manière progressive une sorte d’infrastructure de sécurité permettant de contrôler le (prévisible) désordre social résultant de ce mini-krach.

Cette opération conduit à pas de géants vers un labyrinthe inextricable : la « grande réinitialisation » (ou Great Reset en anglais, expression et ouvrage du président du Forum Economique Mondial : Mr Klaus Schwab) à l’échelle mondiale. Savamment orchestrée, cette période sera rendue nécessaire au préalable par une période d’hyperinflation en amont (que tout un chacun connait actuellement). Une fois le monde suffisamment dépravé et englouti par une dette déjà sans fin, les compteurs de ladite dette ainsi que des créances papier correspondantes (incluant évidemment la monnaie) seront remis à zéro. Il suffira uniquement aux élites, pour réaliser cela, d’appuyer sur une touche : la touche Reset. Les effets seront globaux, en tout état de cause.

A l’automne 2019, le système financier se trouvait déjà dans un état de déclin relativement avancé. Un évènement illustre parfaitement ce propos. Il s’agit de la prise d’otage du marché REPO (ou Repurchase Agreement, c’est-à-dire un accord à court terme permettant de vendre des titres afin de les racheter à un prix légèrement supérieur*) par la banque centrale américaine (FED) à partir du 16 septembre 2019. Ceci n’a été qu’un sparadrap sur une jambe de bois, qui n’aura permis d’endiguer l’apocalypse du marché REPO que pendant une très courte période.

En réalité, un effondrement bien plus profond s’est sérieusement amorcé depuis 2007 (subprimes et surendettement occidental) et les supposées tentatives de rattrapage des quinze dernières années servent à donner l’illusion de pouvoir sauver un système économique mondial totalement corrompu (petite pensée aux énièmes évènements de corruption majeure au sein du Parlement européen). L’inévitable ne fait qu’être repoussé !

Automne 2019 : nouveau point de reprise des soubresauts financiers mondiaux

À partir de septembre 2019, l’effilochage de la crise à sévèrement repris. La baisse effroyable de la production industrielle a indubitablement été le point de départ de la crise bancaire d’août 2019 (ou crise du REPO) lorsque, subitement, les grandes banques internationales ont littéralement commencé à refuser les titres de la dette souveraine américaine en tant que garantie concernant les prêts au jour le jour. Cela a obligé la FED (banque centrale américaine) à intervenir urgemment et, comme d’habitude, à imprimer de l’argent « quoi qu’il en coûte » afin de couvrir cette pénurie massive de liquidités.

Le marché REPO n’est rien d’autre que celui où les banques empruntent quotidiennement de l’argent dans l’optique d’être munies d’un certain pourcentage d’actifs liquides en fin de journée et, ainsi, répondre à certaines exigences financières légales.

Mi-septembre 2019, la FED à débuté les injections d’argent à hauteur de 10 à 20 milliards de dollars par jour uniquement sur le marché REPO. Bien que totalement absurde, cette pratique d’impression monétaire visait à maintenir les taux d’intérêt à un niveau suffisamment bas pour que l’intégralité des grandes banques puissent emprunter l’argent nécessaire à la poursuite de leurs activités (frauduleuses ou pas, cela est à l’appréciation de chacun). Or, bien que la banque centrale américaine injectait de plus en plus de milliards de dollars quotidiennement sur ce marché REPO, il semble que l’addiction du marché bancaire était très forte puisque les doses injectées n’était toujours pas suffisantes.

Début mars 2020, la FED prenait donc la décision (encore plus absurde) d’injecter 100 milliards de dollars sur le marché Repo pour supposément endiguer cette crise devenue majeure.

En clair, tout Wall Street était sur-sur-surendetté et retenait massivement les liquidités américaines fournie par la FED afin d’assurer le service de cette immense dette, refusant ainsi par la même occasion de financer les achats de devises étrangères. Ensuite, ce refus s’est étendu aux devises américaines (dollar US), alors que le marché REPO se bloquait invariablement à un taux d’intérêt de 10 % sur les prêts REPO au jour le jour. De fait, les obligations du Trésor US (dette américaine émise sur les marchés financiers), incluant les billets de banque US (dollar américain), étaient rejetées comme garantie pour un ensemble d’opérations financières.

Une hystérie du Covid fabriquée en guise de rampe de lancement d’une hyper-inflation mondiale permettant le transfert des actifs publics aux investisseurs privés

Au cours du mois de mars 2020, la crise des liquidités s’est propagée de partout. En l’occurrence, elle s’est propagée des marchés des courtiers primaires (les grandes banques) vers tous les autres marchés (actions, obligations, matières premières, titres adossés à des prêts hypothécaires, obligations adossées à des prêts, fonds négociés en bourse, fonds communs de placement, ainsi que d’autres schémas de Ponzi à l’instar des CDS représentant plusieurs milliers de milliards de dollars).

A partir du moment où les anciens bons du Trésor américain sont devenus peu liquides (voire même refusés par les banques en tant que garantie de paiement) du fait de la croissance exponentielle de la dette publique en dollars américains (et l’émission de nouveaux bons du Trésor américain), et surtout la dette privée, l’enfer a commencé à se déchaîner.

La totalité du château de cartes qui s’effondrait peu à peu depuis près de six mois, à ce moment là, était irréversible. Il a donc fallu inventer un scénario permettant de couvrir un renflouement global de la FED compris entre 10 000 et 15 000 milliards de dollars.

Ce renflouement a principalement été effectué en impression monétaire et en actions via des opérations incessantes d’open market (marché POMO). Il s’agit d’une façon élégante de dire que la FED a acheté de tout et n’importe quoi afin d’empêcher un krach systémique. Cela a consisté (et consiste relativement toujours) en l’achat de bons du Trésor US, à des injections massives d’argent dans les tous marchés financiers et au fait de donner des garanties de valeur à des garanties déjà utilisées dans des produits tels que les produits dérivés structurés.

L’objectif visé, dont le plan est actuellement en cours d’exécution, est que les banques centrales (et particulièrement la FED) en viennent à racheter progressivement l’ensemble des dettes toxiques totalement sans valeur de tous les fonds spéculatifs et des banques. Cela comprend églament les (au moins) 1,2 quadrillions de dollars (soit 1,2 millions de milliards de dollards) de produits dérivés. A travers ce mécanisme, la dette privée est peu à peu transférée au Trésor US en tant que dette souveraine. Il s’agit d’un mécanisme pernicieux de nationalisation de l’ensemble des dettes privées. S’ensuit alors une impression monétaire sans fin, qui est d’actualité depuis 15 ans, afin d’assurer le service de cette dette toxique.

Cependant, la contrepartie est toujours la même dans de telles situations : l’effondrement, jusqu’à la chute, de la monnaie. Ici, c’est en l’occurrence le dollar US qui, au travers de l’hyper-inflation est concerné. Une fois le dollar US suffisamment bas en valeur, alors viendra la chute des États-Unis et de tout détenteur de dettes en dollars US alors devenues sans valeur. Un scénario au goût de déjà vu et rappelant évidemment l’affaire des emprunts russes, ayant mis sur la paille bien des français.

En effet, on touche ici du doigt les réels intérêts de la Finance. Cette dernière a tout intérêt en la création internationale d’un contexte d’hyper-inflation globale permettant ainsi de littéralement vaporiser tous les actifs détenus en masse par les populations (via les portefeuilles d’obligation, la détention de monnaie, etc.) et les États afin d’avoir la main mise sur tous les actifs (y compris publics). Agissant ainsi, cela permet donc à une certaine classe dirigeante de tout raffler sur son passage en épongeant progressivement l’ensemble des biens (entreprises en faillite, biens immobiliers saisis, etc.) afin de s’approprier intégralement et sans concession tout ce qui existe dans le monde.

La pandémie Covid, un outil utilisé afin de couvrir artificiellement la crédibilité du dollar

Comme par une étrange coïncidence, l’urgence associée au Covid-19 arriva pile au moment opportun pour le monde de la Finance. Alors que tout l’édifice financier américain, et par extension mondial, commençait à trembler, ce nouvel évènement fût la cerise sur le gâteau pour la Finance mondiale. En effet, cela fournissait la justification parfaite permettant de geler l’effondrement bancaire américain par l’intermédiaire d’injections massives de liquidités. Textuellement, cela donnait l’occasion rêvée au cocaïnoman de se droguer jusqu’à l’overdose.

La perception de masse purement fabriquée à partir de mars 2020 qu’il y avait, du jour au lendemain une urgence sanitaire mondiale, fût un sublissime modèle de manipulation de masse par les médias traditionnels, de mise en oeuvre des meilleures tactiques de conditionnement comportemental et d’ingénierie sociale. Tout ceci fût possible grâce à une programmation institutionnelle de premier ordre ainsi qu’à des messages médiatiques incessants empêchant tout processus cognitif de base de se produire au sein du peuple. La pensée critique était alors exclue, ou bien tout simplement qualifiée de complotisme, et d’autres termes peu glorieux.

Sans menace extérieure caractérisée par un supposé virus tueur d’humanité, la révélation d’un tel effondrement financier massif aurait immédiatement provoqué une panique financière mondiale dénuée de tout contrôle et aurait directement menacé la crédibilité du dollar US. Bref, sans le véritable et gigantesque écran de fumée du Covid-19, l’entièreté de ce schéma de Ponzi généralisé ainsi que le transfert de richesse historique lancé auraient été révélés au grand jour. La population mondiale aurait alors découvert un vaste racket organisé et continu des peuples par l’élite financière mondiale.

L’opération Covid : Le cheval de trois pour inaugurer le nouvel ordre mondial

Comme l’a illustré la soi-disante guerre contre le terrorisme, la plupart (si ce n’est la totalité) des événements profonds et d’envergure sont conçus afin d’exploiter autant que possible tous les biais d’acquisition possibles.

Avec la « pandémie du Covid-19 » ayant succédé à la grande « guerre contre le terrorisme », un nouveau krach financier d’ampleur mondiale remanié trouve miraculeusement écho dans une opportunité ultra-lucrative et à buts multiples pour la classe dirigeante.

Lorsque la nécessité immédiate fût de tenter de stopper l’hémorragie du système financier mondial créée par ce dernier lui-même, tout un ensemble d’autres objectifs furent (et sont toujours) servis par cette opération aux multiples facettes.

Car rien de tout cela n’est accidentel ! Bien loin de là, et nombreuses sont les informations cachées, planifiées et exécutées en toute méconnaissance du grand public. A ce titre, de nombreux exercices de simulation en témoignent, tels que ceux évoqués et rapportés par Reporterre (article du 22 janvier 2022) : « […] exercice Dark Winter en 2001, Atlantic Storm en 2005, exercice Mars à Berlin en 2017, Clade X à Washington en mai 2018, Crimson Contagion début 2019, Event 201 en octobre 2019. Le point commun de tous ces exercices est de prévoir, non seulement la restriction des libertés, mais, selon un document d’une de ces conférences, que « la notion d’un monde plus contrôlé gagne en acceptabilité et en assentiment (…), [que] les citoyens abandonnent volontairement de leur souveraineté — et de leur vie privée — à des États plus paternalistes (…), [que] les citoyens deviennent plus tolérants, et même désireux, d’un commandement et d’une surveillance plus abrupts ». Que dire de l’Agenda 2030 ?

Conclusions

L’opération Covid-19 couvre de nombreux objectifs, que voici en partie :

A – Le contrôle et le camouflage des réelles raisons de l’implosion économique ;
B – Un plus grand transfert de richesses vers le haut de la pyramide ;
C – Le développement accéléré de la biosécurité ainsi que de la surveillance par l’Intelligence Articificielle à toutes les échelles de la société ;
D – L’accentuation du régime de cartel formé par les grandes entreprises technologiques, par de multiples biais : applications de suivi, normalisation des médias sociaux et plateformes de communication intermédiaires dans tous les domaines de la vie. L’impératif technologique est exacerbé et développé de manière paroxystique avec des repas commandés via Deliveroo, des déplacements organisés avec Uber, des réunions visio faites par Zoom, des dépenses financières toujours plus fortes au travers de Visa/MasterCard pour commander en ligne des biens chez Amazon, des films chez Netflix, etc. ;
E – La création d’une pandémie artificielle comme mécanisme financier. Toutes les pandémies fabriquées sont devenues de lucratives opportunités d’investissement augmentant ainsi la richesse des nantis et renforçant leur pouvoir ;
F – La financiarisation de la santé publique et son extension à tous les domaines de la vie socio-économique ;
G – L’expansion et la banalisation des cartes d’identité numériques, incluant les passeports vaccinaux, en les reliant à une monnaie numérique de la banque centrale (MNBC) et un revenu de base universel (RBU), permettant ainsi de suivre à la trace les citoyens afin de les inciter à adopter les comportements voulus … sous peine d’exclusion à leur gré (ex : « J’ai très envie d’emmerder les non-vaccinés » et « Un irresponsable n’est plus un citoyen », phrases tristement célèbres du président E. MACRON) ;
H – Une privatisation et une diminution des services publics généraux sous prétexte qu’ils soient de fait plus agiles pour les urgences publiques ;
I – Favoriser le conditionnement du grand public à de supposés états d’urgence perpétuels et, ainsi, le préparer au monde de demain selon les volontés de « l’Agenda 2030 pour le développement durable ».